Les deux tours de l'église Saint-Nizier n'ont pas été construite à la même époque, pour des raisons de budget. De surcroit, son histoire est chaotique. L'église fût construite sur d'ancienne ruines, puis partiellement détruite, puis reconstruite.

Le point le plus bas de la carrière est légèrement inondé, comme souvent.

La pierre à ciment est extraite le long de la couche géologique bien pentue. Elle est inclinée car la carrière à pierre se situe à l'intérieur d'un soulèvement synclinal.

Sous le grand dôme de l'Hôtel-Dieu de Lyon. L'escalier métallique permet d'accéder au sommet où un petit balcon donne une vue imprenable sur le Rhône. Le petit dôme abrite un balcon circulaire, donnant une vue plongeante sur le grand hall d'entrée de ce qui deviendra probablement un hôtel de luxe en 2012. Sa charpente en béton est impressionnante et donne un côté surréaliste à l'ensemble. Particulièrement quand on vient de l'extérieur où l'habillage reste fidèle à ce que fût le dôme avant l'incendie.

L'Hôtel-Dieu de Lyon est un ancien hôpital aujourd'hui complètement vide mais dont les toits représentent un très beau terrain de jeu. Ce fût le premier hôpital Lyonnais, érigé par les frères Pontifes en 1184.

Le grand dôme de l'Hôtel-Dieu de Lyon, appelé aussi dôme de Soufflot. Il est haut de 31m. Dans l'ancien temps, son rôle était de servir de cheminée d'aération pour les chambres des malades, dont les fenêtres ne pouvaient s'ouvrir à l'époque.

Le pont de la Mulatière est un ouvrage de presque 200m de long. Il fût emporté par une crue en 1840. Reconstruit par la compagnie Levallois-Perret (anciennement Eiffel) en 1916, il fût détruit par les allemands en 1940 et en 1944. Sa vie contemporaine est beaucoup plus tranquille. Il assure le traffic ferroviaire de la ligne Lyon Saint-Étienne.

Cette carrière de pierre à ciment est un gigantesque pierrier qu'il est difficile de pratiquer. Ici, le passage d'un ancien funiculaire, bordé par un escalier qui donne une petite idée de la pente. Tout en bas, une zone inondée qui forme un bassin naturel.

C'est assurément la partie la plus impressionnante de la prison Saint-Paul. Les cellules et leurs balcons respectifs.

Les arêtes de poisson (aussi abrégé ADP) font partie d'un réseau de galerie bien plus grand, surnommé les fantasques. Comme son nom le laisse supposer, le réseau ressemble très vaguement à une structure en épis. En fait, c'est un réseau de parallèles agencées autour de deux dorsales (ou artères principales), de façon orthonormée, ressemblant beaucoup plus à certains symboles du site archéologique Nazca, ou même une antenne râteau de télévision, qu'à des arêtes de poisson.
La grande particularité de ces souterrains est qu'ils n'ont visiblement pas pour fonction de drainer l'eau, contrairement aux deux autres parties du réseau des fantasques (Les colinettes et les grandes galeries). La plupart des galeries sont droites, plates, en meulière, avec un sol sec, à l'exception notable des couloirs principaux, en pente raide avec beaucoup d'escaliers.