Carrières de Paris

Vous avez dit gruyère?

La carrière de la violette est une carrière très fragile.

Le cavage de la cave carrière de Port-Marly. Un hall d'entrée sympathique pour tout amateur de vin.

Comme on le voit régulièrement inscrit sur les piliers, la carrière, très orthonormée a des allées numérotées. Ici, un petit bassin et un aiguillage font le bonheur de la plupart des photographes visiteurs.

C'est suite à ce fontis que l'exploitation de la carrière s'est arrêtée.

Les effondrements de la carrière de La Violette se produisent parfois, comme ici, sous des piliers.

Ici, nous sommes au plus bas du réseau, dans la carrière avec laquelle les caves communiquent.

La carrière dite "La Violette" d'Annet sur Marne est une carrière de gypse particulièrement torturée. En de nombreux endroits de la carrière, quand ce n'est pas complètement effondré, on peut voir des éléments de confortation qui ont cédé sous le poids du plafond ou, comme ici, se retrouvent bien seuls et inutiles.

La carrière de sable du Puiselet a été exploitée de 1924 à 1944. Ici, les restes d'une berline qui servait à transporter le sable à l'extérieur. Le sable de la région de Fontainebleau (Nemours) est un des sables les plus purs et les plus fins qui soit. Comme c'est un sable de très haute qualité (riche en silice à plus de 95%), on l'utilise pour les optiques d'appareil photo ou des vitrages de prestige (Le verre de la pyramide du Louvre par exemple a une qualité de verre optique, grâce aux oxydes métalliques qu'on y a ajouté).

source: Argonaute et lemoniteur.fr

Les meules d'une ancienne champignonnière dans la carrière de Bazemont.

Photo en relief. Merci à Argonaute pour le deuxième appareil photo.