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Sans haine, sans violence et sans arme, mais pas sans passion. Spaggiari 1976. Homme à couvre-chef respecte ce lieu de mémoire et de peines autant que ce visiteur d'un jour l'a fait avec ses yeux et son cœur d'enfant. Gardes toi de juger si tu ne comprends pas, écoutes la passion des autres et restes en paix avec eux, ils te le rendront. AMM Paris octobre 2001.
 
Coupole Arago

La construction de la coupole, sur l'instigation d'Arago, a débuté en 1846 d'après un projet établi par A. de Gisors, architecte en charge de l'Observatoire, accepté par le Ministre, Secrétaire d'État des travaux publics, le 10 mars 1846. Entièrement en cuivre, elle a été déformée par une restauration malheureuse.

Cette coupole a abrité une lunette équatoriale à monture allemande, construite par Brünner, dont l'objectif de 38cm de diamètre et de 9m de focale a été fabriqué par les frères Henry.

La lunette pivote autour de deux axes: Un axe horaire parallèle à l'axe du monde, Un axe des déclinaisons perpendiculaire au premier.

Elle repose sur une armature de poutres métalliques ancrée sur la paroi octogonale de la tour. Cette structure, datant des années 1850, est classée car c'est l'une des dernières structures rivetées fabriquées en France.
Lors de sa mise en service en 1854, soit un an après la mort d'Arago qui avait commandé l'instrument, elle était par ses dimensions la plus grande lunette de l'époque.

Cette lunette a servi pendant plus d'un siècle, notamment aux observations de comètes, de petites planètes et d'étoiles doubles, ainsi qu'aux occultations d'étoiles par la Lune. Elle reste utilisée de nos jours pour l'observation des éclipses et des occultations mutuelles des satellites de Jupiter, et l'observation de phénomènes rares (comètes, occultations d'étoiles par les planètes...).
Mais elle sert essentiellement aujourd'hui à la formation des étudiants de DEA de l'Observatoire de Paris.

 
Les métiers de l'Astronomie

Le développement des recherches en astronomie est largement fonction des moyens d'observation - qu'il s'agiise de grands téléscopes ou radiotélescopes installés au sol, ou d'instruments envoyés dans l'espace: ballons ou satellites - et des moyens informatiques qui offrent des possibilités incomparables de calcul et de modélisation des phénomènes naturels et qui permettent de faire une analyse très poussée des données acquises grâce aux observations. La recherche en Astronomie fait appel à de nombreuses disciplines (mathématiques, physique, chimie); c'est un travail d'équipe qui demande une collaboration étroite entre chercheurs (astronomes), ingénieurs et techniciens, au niveau national et international.

Différents domaines d'activité peuvent être définis, d'une part selon les objets étudiés, d'autre part suivant les techniques employées. Certains astronomes sont plus spécialisés dans les observations, d'autres dans la théorie ou la modélisation, d'autres enfin dans l'instrumentation; ces trois domaines complémentaires offrent une large palette d'activités aux astronomes.

Pour effectuer leurs observations, ceux-ci utilisent des instruments dont les performances ne cessent de s'accroître. Il s'agit de recueillir et d'analyser le rayonnement envoyé par les astres de façon à en obtenir le maximum d'informations. Les instruments sont conçus et réalisés par des astronomes, des ingénieurs et des techniciens. Les observations préparées longtemps à l'avance ont généralement pour but de vérifier les prévisions du théoricien. L'utilisation des grands instruments est accordée en fonction de l'intérêt scientifique des projets présentés. Les observations elles-mêmes sont généralement de courte durée, mais beaucoup de temps et de travail sont consacrés à leur exploitation et à leur interprétation. Le but à atteindre est l'obtention d'une information aussi détaillée que possible sur les astres étudiés, de déterminer quelles conditions les régissent et quels processus physiques interviennent.

Les résultats scientifiques obtenus sont finalement publiés dans des revues spécialisées, des comptes rendus de colloques ou des monographies, ce qui permet à la communauté internationale d'en prendre connaissance. Ainsi avance la science, s'appuyant sur des techniques de pointe ou, inversement, faisant évoluer les idées, les techniques, pour le bénéfice de tous.

Descendre pour mieux connaître Dessus!!! F.L. Tract N°1 Avril 2001 / Respectez le Site
Siège social: 61, avenue de l'Observatoire - 75014 Paris www.obspm.fr
 
ABC comme KTA - FAC - Publication souterraine - Paris
 
En 1870, la France est en partie occupée par les armées prussiennes. À la suite de cette défaite, on met en place le système Séré de Rivières qui permet notamment la construction de fortifications pour défendre Paris. C'est dans ce cadre que le Fort de Haut Buc a été construit. Les travaux commencèrent en août 1874 et se terminèrent en 1880.

Le Fort de Haut Buc fait partie d'un ensemble composé de deux forts, le fort de Villeras situé à Saclay et le Fort de Haut Buc, et d'ouvrages périphériques plus petits.

De 1979 à 1995, la société d'armement Thomson modifie le fort pour construire une fabrique de missiles. L'ouvrage est parfois utilisé par la police nationale pour y faire des entrainements au combat.

En 2010, la ville a ouvert un concours du meilleur projet de réhabilitation du site.
 
Carrières de Paris
 
Dans les carrières du 16ème à Paris, sous le palais de Chaillot. Hauteur 55 pieds 4 pouces / 17 Metes 8693 (faute d'origine respectée)

On appelle ces carrières souterraines "carrières de Chaillot". La taille de ces carrières était de 12 hectares à l'origine mais aujourd'hui, il ne reste plus qu'un réseau modeste de galeries souterraines. Lors de l'exposition universelle de 1900, on utilisa une petite partie des galeries souterraines pour présenter le travail d'exploitation des mines et carrières souterraines. Un prototype du tunnel sous la manche fût aussi réalisé.
 
Un panoramique à 360° au milieu des arcs boutants de l'église Saint-Eustache à Paris.
 
Une magnifique horloge sur le toit de la banque populaire de Paris.
 
La superbe voûte à double ogive de la carrière d'Herblay, aux 5 cavages. Scan de négatif Kodak Gold Ultra. 20s à f1/5.6 au 28mm.

Les carrières d'Herblay s'étendent sur plus de 14km de large et quelques centaines de mètres de profondeur, à flanc de coteaux le long de la Seine.

En 1776, l'exploitation de nouvelles carrières souterraines à Paris était interdite. Il a fallu prendre de la pierre ailleurs. C'est pour cette raison que la carrière fût appelée "Carrière impériale" ou encore "Carrière de la ville de Paris". On construisit de nombreux monuments parisiens avec cette pierre car elle était de grande qualité (le fameux banc royal).

Parmi les monuments construit, il y a eu Le panthéon de Paris, le ministère de la marine place de la Concorde, la gare de l'Est, l'hôtel de la monnaie ainsi que de nombreuses statues au château de Versailles.

Le réseau de la carrière d'Herblay a été excessivement exploité. Le plafond est fragile et les murs séparants les galeries sont très fins. Pour consolider la carrière, on a ajouté de nombreux piliers et confortations.

Plus tard, comme beaucoup de carrières souterraines, elles ont servi de champignonnière dans les années 1980. Les ouvriers ont creusé des couloirs supplémentaires entre les différents petits réseaux de carrière.

Quelques années plus tard puis elles ont été progressivement abandonnées. La dernière champignonnière a fermé en 1995.

Depuis 2003, l'association "Herblay patrimoine" a entrepris de rendre publique les visites de la partie des Anglais avec la fameuse voûte en double ogive et les jolis bassins.
 
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AQUATIQUE ARC ARCHE AXA BASSIN BATTERIE BILLANCOURT BLOC BOUGIVAL BOULOGNE BOUTANT BOUTANTS BRETAGNE BUNKER CALCAIRE CARRIÈRES CATACOMBES CATHEDRALE CB31 CENTRE CHAMPIGNONNIERE CHANTIER CHARTRES CHATEAU CIMENTERIE CLINIQUE CONFLANS COULOIR COUTANCES CRAIE DAME DEFENSE DENFERT DIVERS EAU ECHELLE ECOLE EGLISE EPURE ESCALIER ESSERENT FAC FACADE FORT FRANCE FRICHE GALERIE GARE GRAND GRILLE GROSSIER GRS GRUE GYPSE HERBLAY HONORINE ILE INDUSTRIELLE JAGUAR LEU LYON MAGASIN MAGINOT MAHON MAISON MARLY MEDICALE MEDIEVALE MERY MEUDON MILITAIRE MINE MINISTERE MONTALETS MONTESSON MONTROUGE MONUMENT MUSEE NOTRE OCRE OFFICIEL OISE OPERA ORANGIS ORSAY OSSUAIRE PALAIS PALAISEAU PANORAMIQUE PAPETERIE PARIS PAUL PILIER PISCINE PLAN POINTE PONT PONTOISE PORT PORTE PRISON PROVENCE PUITS RAIL RENAULT RIS ROCHEREAU ROUDOUDOU SAINT SALLE SEGUIN SEINE SOUTERRAIN STATUE SUD TECHNIQUE THEATRE TOIT TOUR TRACT TRIEL TROCADERO TUNNEL ULIS UNIVERSITE USINE VAUX VERRIERE WAGON