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Le grand lavabo, ou salle des pendus, est le vestiaire des mineurs. Outre le gain de place à suspendre ses vêtements par une chaine (attachée avec un cadenas aux bancs), la partie haute de la pièce était plus chaude, facilitant le sèchage des vêtements.
 
 
L'entrée dans la cathédrale souterraine est un toboggan de 40 mètres de long qui descend plus de 12 mètres.
 
"La mine"

La descente donne dans le petit niveau inférieur qui permet de faire la connexion avec le plus grand des secteurs. Attention, la carrière et plus particulièrement ce niveau est truffée de trous en tous genre, on fait attention et on évite de tomber, merci.
 
Le train parcourt 650m séparant l'entrée de la cathédrale souterraine.
 
Un des nombreux tracts longs à lire de Claustrophile.

Je me sens seul. Assis au bord d'une flaque d'eau, j'attends nuit après nuit la venue d'une image, même furtive, qui réchauffera mon cœur glacé. L'ennui est mortel mais je ne le suis peut-être plus moi même.
Je ne contrôle pas mes déplacements. Il semble que je sois condamné à rester sans bouger, près de cette flaque d'eau. Je peux m'y asseoir, me coucher au dessus dans tous les sens, me glisser sous sa surface. Mais je ne peux m'en éloigner. Plusieurs semaines ont passé déjà, peut-être davantage. J'ai perdu la notion du temps. J'ai aussi perdu le toucher et l'odorat.

Tout a commencé un soir de juillet, ici même. Je montais vers le Nord en passant par ici. J'ai marché dans la flaque d'eau et je n'ai pas tout de suite compris ce qu'il y avait d'anormal dans la réaction qu'elle opposait à mes bottes boueuses. C'est en revenant sur mes pas que j'ai compris, sans rien y comprendre d'ailleurs. L'eau que je venais de souiller était parfaitement limpide! J'ai refait un essai, en remuant sa surface à l'aide de ma semelle sale. Mais l'eau ne se troublait pas et ne lavais pas ma botte. Pire encore, la botte y pénétrait mais aucune ondulation n'en résultait. Je me suis mis à y sauter à pieds joints, il n'y avait aucune éclaboussure. J'ai cru devenir fou.
Je pense alors avoir commis ma dernière erreur en laissant ma curiosité m'entraîner jusqu'à ce qui allait me perdre. Je me suis accroupi et j'ai plongé la main dans l'eau. Je la voyais par transparence, je sentais le contact froid et mouillé. Mais l'eau n'ondulait pas. Si j'en soulevais dans ma paume et que je la laissais couler, elle incorporait immédiatement la flaque qui restait parfaitement immobile. J'étais effaré.
Mais au bout de quelques minutes j'ai vu apparaître le reflet d'un homme qui me regardait. J'étais effrayé de le voir sans l'avoir entendu arriver, mais c'était sans compter l'horreur qui m'attendait ensuite. Car lorsque je me suis retourné il n'y avait personne derrière moi. Cet homme n'existait qu'en reflet. Et uniquement dans cette flaque d'eau. Je ne l'ai revu qu'une fois. Il était déjà trop tard.
J'étais terrorisé. L'inconnu dans le reflet parlait et s'agitait, comme s'il eût cherché à me dire quelque chose. Mais il restait silencieux à mes oreilles. Je me suis affolé. J'ai voulu courir mais j'avais si peur que je n'ai pas fait attention au ciel de carrière. Je m'y suis cogné avec une violence inouïe. Je crois que le choc a été fatal.
Lorsque je me suis senti de nouveau debout, je me voyais, couché, la tête dans une flaque de sang qui coulait vers la flaque d'eau. Mais lorsque j'ai regardé la flaque c'est moi que je ne voyais plus. Je n'avais pas de reflet.
Le corps qui gisait à proximité s'est finalement relevé mais ce n'était plus le mien qui portait mes vêtements et mon sac à dos.
C'était l'homme que j'avais vu dans le reflet! Il repartait, en chair et en os, à ma place, me laissant seul et prisonnier de mon sort! Je ne pouvais même pas le suivre, comme si la flaque d'eau avait été aimantée. Depuis, j'attends toujours, dans l'obscurité, que quelqu'un s'aperçoive que la flaque d'eau est immobile...

C'est peut-être toi que j'attendais. Toi qui a ramassé ce tract, scrute un peu mieux la surface de l'eau...
 
Le métier de carrier, souvent mal rétribué, était pénible et dangereux. On aura recours à la main d'œuvre de nos campagnes, principalement du Limousin. Il fallait travailler couché pour souchever, à genoux pour trancher avec un outillage très lourd, chaque jour 12 heures durant. À la force physique, il fallait ajouter le sang froid, l'adresse et le courage car les accidents étaient fréquents et souvent mortels, causés par la chute de blocs de pierre, l'effondrement ou la rupture des échelons. Lorsque les hommes grimpaient sur la roue pour monter la pierre, il suffisait d'un faux mouvement, qu'un seul d'entre eux ne glisse d'un échelon, ou bien que le câble casse; mais quelle qu'en fût la cause, dès que l'équilibre était rompu, la roue tournait sans mesure entrainant les hommes qui y restaient accrochés, la vitesse les projetait ainsi qu'une fronde géante.

Les registres communaux de Montrouge le prouvent, des centaines de carriers furent victimes de leur métier.

L'Hospice de la paroisse St Jacques du Haut Pas a été fondé en 1779 par le curé de St Jacques du Haut Pas, M. L'abbé Denix Cochin. Celui-ci l'avait d'abord destiné à recevoir les pauvres ouvriers blessés; le quartier étaitoccupé, en grande partie, par des ouvriers travaillant auc carrières voisines. Comme il fallait les transporter à l'Hôtel Dieu lorsqu'ils étaient blessés, ils manquaient de soins immédiats, généralement nécessaires.

Animé d'une grande charité, l'abbé Denis Cochin consacra à cette œuvre toute sa fortune (1500 livres de rentes). La première pierre fût posée le 25 septembre 1780 par deux pauvres de la paroisse, élus comme les plus dignes dans une assemblée de charité.

Descendre et savoir!!! F.L. Tract N°6 Juin 2001 / Respectez le site.
 
Dans les carrières du 16ème à Paris, sous le palais de Chaillot. Hauteur 55 pieds 4 pouces / 17 Metes 8693 (faute d'origine respectée)

On appelle ces carrières souterraines "carrières de Chaillot". La taille de ces carrières était de 12 hectares à l'origine mais aujourd'hui, il ne reste plus qu'un réseau modeste de galeries souterraines. Lors de l'exposition universelle de 1900, on utilisa une petite partie des galeries souterraines pour présenter le travail d'exploitation des mines et carrières souterraines. Un prototype du tunnel sous la manche fût aussi réalisé.
 
Durée: 00:00:22

Un des puits de la carrière est cerclé de métal et donne d'étonnants échos. Ici, je me contente de taper sèchement dans mes mains et ça donne cet effet de phaser! Terrible!
 
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