Ici, une des cuves du centre. Elle est complètement éventrée. Il reste à l'intérieur ce qui ressemble à une charge ou un détonateur. Impressionnant!

Assez jouissif de monter sur les toits du Louvre en plein jour et en manteau long s'il vous plait.

Une des vues les plus magiques de Notre Dame de Paris qu'il m'ait été donné de voir.

Ici, les vitraux en cours de restauration (ils en ont bien besoin) sont remplacés par des panneaux de bois.

Suite à un incendie en 1836, la charpente en bois a été remplacée par une charpente métallique. Il y eu des travaux de restauration en 1995 car elle se faisait vieillissante. Des photos ont été prises par un photographe régional amateur d'acrobaties aériennes lors des travaux et sont exposées dans une salle à mi-hauteur de la tour flamboyante.

Les Montalets "la mine", niveau 1. Ce niveau est un niveau de connexion. En effet, la carrière ne compte pas réellement cinq niveaux superposés. Il y a ici quatre niveaux (si on compte le couloir de sortie comme un niveau à part entière). En fait trois.

Les Montalets "rue des gardes", niveau 1, couloirs bien arrondis, un peu d'eau, 9 chatières et un puits ruisselant qu'il faut monter avec des marches creusées par nos soins dans la roche. Merci le pied de biche!

Les murs de cette carrière sont particulièrement blancs car ils ont été chaulés. On voit d'ailleurs les bavures de chaux au plafond qui, visiblement, témoigne d'une méthode de projection de la chaux.

Sur le toit de l'immeuble du CSA, on note un grand nombre d'antennes satellites. Normal, faut bien qu'ils regardent la télévision! Pardon, qu'ils travaillent...

Ce couloir est rempli d'inscription, car il dispute avec la salle du fond le lieu le plus éloigné de la sortie (si on excepte la masse d'or). Les sacs de la champignonnière n'en sont pas moins conservés!