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Salle de contrôle de la base radar de l'Otan, sous le fort du mont Salbert.

Le Fort Lefebvre culmine en haut du mont Salbert à 650m d'altitude. C'est un fort dit "Séré de Rivière". Il a été construit de 1874 à 1877. Le 12 mai 1955, l'OTAN réutilise le fort pour y installer un centre de communication ainsi qu'une base radar. L'ouvrage est officiellement remis à l'Armée de l'Air ole 26 mars 1958. L'ouvrage "G" de Défense Aérienne du Territoire (D.A.T.) est dôté de 7 antennes radio. L'ancien fort sert de casernement pour les militaires.

La base radar n'est pas exactement dans le fort, mais sous le fort. L'accès depuis le fort est un long escalier de 322 marches qui descend dans une enceinte fortement bétonnée.

Le site n'est plus opérationnel rapidement mais il reste occupé par l'armée jusqu'en 1972. La mairie de Belfort devient l'actuel propriétaire des lieux. Elle sécurise le site qui est aujourd'hui un lieu de promenade.
 
On approche de la partie la plus basse des galeries de la fac d'Orsay. Beaucoup d'infiltration dans ce couloir, mais peu de débit. De toutes façons, le trop plein est censé être évacué par l'Yvette qui coule juste à côté.
 
Ce couloir qui fait presque le tour complet d'un des derniers niveaux m'a donné la solution à la légende qui entoure le palais de justice de Bruxelles. En effet, la légende dit qu'il y a tellement de salles que personne n'en connait vraiment le nombre. Il suffirait de les compter me direz-vous? Certes, mais la légende dit aussi que certaines salles sont cachées! Et c'est vrai! Ce couloir va en rétrécissant jusqu'à aboutir à un cul de sac. Mais peu avant, 1 fois par ligne droite (vu qu'il fait le tour de la dernière base carrée, ça fait 4 fois donc) il y a un escalier très raide, ajouté un peu n'importe comment, dont le passage est parfois barré par une canalisation. Cet escalier donne dans des salles mystérieusement vides qui semblent avoir été refaites à neuf récemment (lumière, prises électriques). Impossible de savoir à quoi elles servaient ni à quoi elles vont servir, déjà qu'il est difficile d'y accéder les mains vides, j'imagine la peine qu'on aurait à y apporter une table! Aucun autre accès à ces salles, ni fenêtre.
 
L'origine des mines de plomb argentifère de Trémusson est romaine. On trouvait déjà depuis longtemps des pièces d'origine romaine dans les galeries. Un chantier de déblayement a confirmé l'origine du site, par la découverte de tuiles à crochet des deux côtés du ruisseau.

A la fin du 17ème siècre, les anglais sont des précurseurs dans l'exploitation des mines de métaux non ferreux. Ils achètent des concessions d'exploitation en Bretagne. Pourtant, le site de Trémuson n'est toujours pas exploité. La concession est alors attribuée le 1er avril 1732 à un breton de Morlaix: Guillotou de Kerver. La spéculation autour du précieux métal est croissante, ce qui n'empêche pas le propriétaire de faire faillite suite à un mauvais investissement.

En 1740 la compagnie des mines de Basse-Bretagne rachète la concession. Il faudra 40 ans pour industrialiser les mines. En 1782, plus de 500 personnes travaillent sur le site minier. La taille de la concession est de plus de 90.000 hectares. Elle ne sera jamais exploitée entièrement. A la fin du 19ème siècle, l'exploitation chute. Les propriétaires changent régulièrement sans succès.

Il faut attendre 1922 pour que l'exploitation reprenne. Une laverie est construite à flanc de côteau en 1924. Elle permet de laver le minerai et de le trier car le gisement est moins riche que dans les temps anciens. Un an plus tard, une fonderie est construite. L'exploitation est prospère pendant une dizaine d'année, puis la société Dufourg subit la crise générale. En 1931, la mine est définitivement fermée. Elle ne sera plus jamais exploitée.

Aujourd'hui, les mines sont des refuges protégés pour les chauve-souris mais les nombreux kilomètres de galeries continuent de drainer du plomb dans le village par les eaux d'infiltration. Les habitants du village ne peuvent pas manger les légumes de leur jardin ni boire l'eau polluée des nappes phréatiques. Il reste des vestiges de la laverie et de la fonderie derrière le village.

source: patrimoine.region-bretagne.fr
 
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