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Sans haine, sans violence et sans arme, mais pas sans passion. Spaggiari 1976. Homme à couvre-chef respecte ce lieu de mémoire et de peines autant que ce visiteur d'un jour l'a fait avec ses yeux et son cœur d'enfant. Gardes toi de juger si tu ne comprends pas, écoutes la passion des autres et restes en paix avec eux, ils te le rendront. AMM Paris octobre 2001.
 
Les carriers.

L'homme était dur et joyeux à la fois, il avait les mains calleuses et crevassés, le pouce écarté de l'index par l'usage continu des outils à gros manches. Ses vêtements étaient, des pieds à la tête, maculés de la terre jaunâtre des carrières. Forcé de se mettre à genoux pour exécuter ses travaux, ses vêtements devenaient, surtout aux jambes, d'une teinte indéfinissable, ce qui l'avait cependant fait surnommer "Dandy à pattes jaunes". Coiffé d'un feutre informe posé sur une figure enluminée par le petit vin du pays (la poussière de la pierre attise terriblement la soif...), il porte une barbe qui ne fait connaissance avec le rasoir que tous les dimanches matins...
Au travail l'aspect des carriers est en général sinistre, la population qui habite ces galeries souterraines a, comme son existence, son caractère et sa physionomie à part. Vivant dans l'obscurité, elle a un peu les instincts des animaux de la nuit, c'est à dire qu'elle est silencieuse et féroce. Son comportement social comporte des similitudes liées à ce métier rude et dangereux.

Descendre et savoir!!! F.L. Tract N°7 Juin 2001 / Respectez le site.
 
J'avais surnommé cette carrière "chantier" car au moment où je l'ai visitée, un grand bâtiment venait d'être rasé et s'en construisait un autre. Au début des travaux, la carrière était béante, puis, des murs se sont construits pour boucher les cavages improvisés et il resta fort heureusement une porte d'accès avec un tunnel en béton pour laisser un accès.
 
Sculpture des parisiennes, avec l'épitaphe: "Zut, voilà qu'il pleut". Une des nombreuses réalisation des poilus pendant la première guerre mondiale, alors qu'ils étaient réfugiés dans cette carrière des Chauffours.
 
Vous voyez l'Indiana Jones dans le fond? Non, ce n'est pas lui, mais pourtant, il y avait un petit air de ça quand on s'est amusé avec les chariots dans ce couloir et le trop court virage du fond. De bonnes soirées à remonter la pente et à pousser comme des bœufs. Pour s'amuser bien sûr!
 
Lors de la première série de travaux, le gardiennage s'était considérablement augmenté, suite aux nombreuses visites de personnes pas discrètes. Ils avaient finalement opté pour enlever les bâches. Ainsi, les gardiens pouvaient plus facilement voir les gens monter. Cette photo a été prise la veille du défilé du 14 juillet 2006. L'absence de bâche n'a en rien gêné la montée jusqu'au sommet. Comme quoi...
 
Une culée creuse, l'espace technique vide qu'on laisse à l'intérieur des ponts en pierre pour éviter qu'ils soient trop lourds!
 
À l'époque, ce puits était le seul accès aux autres parties de la carrière. Ici, des cataphiles sûrs d'être les seuls à connaitre avaient laissé la corde que l'on voit. Une fois qu'on leur ait dit être passé. Ils sont venus la récupérer. Le ridicule ne tue pas. Bref, on a du creuser des marches à même la pierre la fois suivante. Au final, c'était plus pratique d'avoir une échelle permanente!
 
Une belle échelle bien rouillée, bien souillée par les pigeons. À monter c'est sport, surtout avec un sac à dos, il y a peu de place. Au fond, la base de l'échelle part du vide, ensuite, elle longe un des silos.
 
C'est en se trompant de route pour aller dans le Gers que je suis passé devant ces anciens bâtiments. Il restait encore 150km à faire mais je n'ai pu résister à aller visiter un peu les environs. Visiblement, c'est encore grâce à quelqu'un qui ne veut pas payer pour la démolition que j'ai eu le plaisir de visiter cette friche.
 
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