La clinique de la ville où j'ai passé toute ma jeunesse. J'ai un paquet d'amis qui sont nés là ou qui se sont fait opérés. Là, on s'apprête à donner l'assaut!

Comme on le voit sur la photo, aucun de ces piliers en bois ne touche le plafond. Ils sont de toutes façons trop fragiles aujourd'hui pour tenir quoi que ce soit. Heureusement, le plafond est plutôt solide!

Les écoles, c'est sympa, c'est propre, mais les toilettes sont un peu trop petits!

Cette salle est une des plus grandes de la carrière souterraine de sable. Elle est longue de plus de 20m. Les piliers de soutènements en bois sont aujourd'hui aussi fragiles que du papier.
Pourtant, le plafond est très solide. Tant que la carrière souterraine reste humide, le sable reste compact. Il y a eu très peu d'effondrements depuis que je la connais.

L'église, à l'intérieur de l'école, occupait la totalité de deux étages. Même si les arches ne sont que de l'habillage, arriver dans une pièce de ce style fût surprenant car rien ne laissait supposer cela, vu de l'extérieur.

À l'époque, ce puits était le seul accès aux autres parties de la carrière. Ici, des cataphiles sûrs d'être les seuls à connaitre avaient laissé la corde que l'on voit. Une fois qu'on leur ait dit être passé. Ils sont venus la récupérer. Le ridicule ne tue pas. Bref, on a du creuser des marches à même la pierre la fois suivante. Au final, c'était plus pratique d'avoir une échelle permanente!

Les murs de cette carrière sont particulièrement blancs car ils ont été chaulés. On voit d'ailleurs les bavures de chaux au plafond qui, visiblement, témoigne d'une méthode de projection de la chaux.

La plus haute des salles de la tour lanterne de la cathédrale Notre Dame de Coutances. Son sol a été fragilisé avec les années, elle n'est plus ouverte au public.

C'est bien de mettre des grilles, mais si les clefs sont sur le panneau...

La tour flamboyante fourmille de détails et ses gargouilles sont toutes plus belles les unes que les autres.