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    pertinence 150
Photo prise du haut de la statue de la Vierge en acier moulé (provenant des canons pris aux Russes à Sébastopol) avec vue sur la cathédrale Notre-Dame de l'annonciation du Puy en Velay.
 
    pertinence 50
La superbe voûte à double ogive de la carrière d'Herblay, aux 5 cavages. Scan de négatif Kodak Gold Ultra. 20s à f1/5.6 au 28mm.

Les carrières d'Herblay s'étendent sur plus de 14km de large et quelques centaines de mètres de profondeur, à flanc de coteaux le long de la Seine.

En 1776, l'exploitation de nouvelles carrières souterraines à Paris était interdite. Il a fallu prendre de la pierre ailleurs. C'est pour cette raison que la carrière fût appelée "Carrière impériale" ou encore "Carrière de la ville de Paris". On construisit de nombreux monuments parisiens avec cette pierre car elle était de grande qualité (le fameux banc royal).

Parmi les monuments construit, il y a eu Le panthéon de Paris, le ministère de la marine place de la Concorde, la gare de l'Est, l'hôtel de la monnaie ainsi que de nombreuses statues au château de Versailles.

Le réseau de la carrière d'Herblay a été excessivement exploité. Le plafond est fragile et les murs séparants les galeries sont très fins. Pour consolider la carrière, on a ajouté de nombreux piliers et confortations.

Plus tard, comme beaucoup de carrières souterraines, elles ont servi de champignonnière dans les années 1980. Les ouvriers ont creusé des couloirs supplémentaires entre les différents petits réseaux de carrière.

Quelques années plus tard puis elles ont été progressivement abandonnées. La dernière champignonnière a fermé en 1995.

Depuis 2003, l'association "Herblay patrimoine" a entrepris de rendre publique les visites de la partie des Anglais avec la fameuse voûte en double ogive et les jolis bassins.
 
    pertinence 50
L'origine des mines de plomb argentifère de Trémusson est romaine. On trouvait déjà depuis longtemps des pièces d'origine romaine dans les galeries. Un chantier de déblayement a confirmé l'origine du site, par la découverte de tuiles à crochet des deux côtés du ruisseau.

A la fin du 17ème siècre, les anglais sont des précurseurs dans l'exploitation des mines de métaux non ferreux. Ils achètent des concessions d'exploitation en Bretagne. Pourtant, le site de Trémuson n'est toujours pas exploité. La concession est alors attribuée le 1er avril 1732 à un breton de Morlaix: Guillotou de Kerver. La spéculation autour du précieux métal est croissante, ce qui n'empêche pas le propriétaire de faire faillite suite à un mauvais investissement.

En 1740 la compagnie des mines de Basse-Bretagne rachète la concession. Il faudra 40 ans pour industrialiser les mines. En 1782, plus de 500 personnes travaillent sur le site minier. La taille de la concession est de plus de 90.000 hectares. Elle ne sera jamais exploitée entièrement. A la fin du 19ème siècle, l'exploitation chute. Les propriétaires changent régulièrement sans succès.

Il faut attendre 1922 pour que l'exploitation reprenne. Une laverie est construite à flanc de côteau en 1924. Elle permet de laver le minerai et de le trier car le gisement est moins riche que dans les temps anciens. Un an plus tard, une fonderie est construite. L'exploitation est prospère pendant une dizaine d'année, puis la société Dufourg subit la crise générale. En 1931, la mine est définitivement fermée. Elle ne sera plus jamais exploitée.

Aujourd'hui, les mines sont des refuges protégés pour les chauve-souris mais les nombreux kilomètres de galeries continuent de drainer du plomb dans le village par les eaux d'infiltration. Les habitants du village ne peuvent pas manger les légumes de leur jardin ni boire l'eau polluée des nappes phréatiques. Il reste des vestiges de la laverie et de la fonderie derrière le village.

source: patrimoine.region-bretagne.fr
 
    pertinence 50
À l'intérieur du chevalement du puits Couriot. Ce site a été exploité de 1840 à 1973. C'est le dernier puits de mine en activité à Saint-Étienne.
 
    pertinence 50
Les deux tours de l'église Saint-Nizier n'ont pas été construite à la même époque, pour des raisons de budget. De surcroit, son histoire est chaotique. L'église fût construite sur d'ancienne ruines, puis partiellement détruite, puis reconstruite.
 
    pertinence 50
Les tapis roulants qui servaient à convoyer les paquets de gâteaux vers les palettes, puis les camions, dans la zone adjacente.
 
    pertinence 50
Cette salle est située tout au fond de la carrière, près du "dernier" puits. Une tripotée de gens, visiblement fiers d'être arrivés jusqu'ici ont laissé leurs noms au mur. Si cet endroit n'est pas le plus éloigné de la sortie, c'est le moins facile à trouver, tout au fond de la champignonnière.
 
    pertinence 50
J'avais surnommé cette carrière "chantier" car au moment où je l'ai visitée, un grand bâtiment venait d'être rasé et s'en construisait un autre. Au début des travaux, la carrière était béante, puis, des murs se sont construits pour boucher les cavages improvisés et il resta fort heureusement une porte d'accès avec un tunnel en béton pour laisser un accès.
 
    pertinence 50
On n'aura pas fini de visiter ces carrières... c'est que la lumière faiblira comme nos forces, que nous romprons à genou le silence et la nuit. Ah oui, crier des heures entières sous un puits! Et passer de l'ombre à la chaleur sans fléchir le front. Les voilà, ces rats-taupiers, creuseur et beaux-parleurs!

LeDuc le 13 juin 2001

 
    pertinence 50
Carrières de Paris - Le réseau situé sous l'hôpital du Val de Grâce.

Les anciennes carrières du Val de Grâce sont médiévales. Elles ont été exploitée du 13ème siècle au 16ème siècle.

En 1621, Anne d'Autriche demanda à Louis XIII de transférer des religieuses bénédictines du couvent de Bièvre à Paris. Le lieu choisi fût l'actuel emplacement du Val de Grâce.

En 1638, l'architecte François Mansart commence les travaux de construction d'une église et d'une abbaye. En creusant les fondations, il découvre qu'il est au dessus d'anciennes carrières souterraines. Ces vides sont sondés, cartographiés puis consolidés. Mais Mansart dépense trop d'argent et c'est l'architecte Lemercier qui termina le travail.

Pour les besoins des travaux, les ouvriers ont construit un escalier d'accès aux carrières et lui donnent le nom de Mansart.
 
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