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Partie de l'émission radio "Autour du monde" consacrée à l'exploration urbaine, avec votre serviteur accompagné de la journaliste Anne-Cécile. Au programme, une visite du fort du Haut-Buc et d'une carrière.

Les carrières de gypse sont souvent plus fragiles que celles de craie ou de calcaire et nécessitent (même si il n'y a que de la forêt au dessus) de fréquentes consolidations.

En bas du gouffre, une galerie s'enfonce profondément. Hélas, difficile d'aller plus loin car le manque d'oxygène est très fort. Attention danger!

Le soleil va se coucher sur l'îlot des Capucins. On distingue dans l'ombre le pont du fort et son pont d'accès.

Une forêt de piliers dans le petit niveau inférieur de la carrière de Port-Mahon.

La forêt de piliers de la carrière d'Herblay.

Dans le niveau le plus bas du fort de Rimplas. Pour la petite histoire, certains explorateurs en herbe étaient rentrés dans le fort avec un éclairage rudimentaire. Quelques uns se sont perdus dans les niveaux inférieurs. Les pompiers ont du venir les chercher. Ici, c'est d'autant plus dangereux que cette partie inférieure n'est pas ventilée et qu'il peut y avoir accumulation de monoxyde de carbone (pour les couillons qui utilisent des torches enflammées...).

La forêt de piliers de la carrière d'Herblay Conflans Sainte Honorine.

J'avais surnommé cette carrière "chantier" car au moment où je l'ai visitée, un grand bâtiment venait d'être rasé et s'en construisait un autre. Au début des travaux, la carrière était béante, puis, des murs se sont construits pour boucher les cavages improvisés et il resta fort heureusement une porte d'accès avec un tunnel en béton pour laisser un accès.

Plus loin, en forêt, un ancien tunnel par lequel passait l'aqueduc du pont du Gard.