Thème graphique: Classic / SuperBlack / DeepPurple / Affichage téléphone mobile
Switch to english Sehen Sie sich in deutscher Sprache ver el sitio en español vedi il sito in Italiano

Tous les motsPlanches IGC
Partager cette recherche sur: Partager cette recherche sur: Messenger   Partager cette recherche sur: Facebook  Partager cette recherche sur: Twitter  Partager cette recherche sur: Viadeo  Partager cette recherche sur: Linkedin  Bookmark this on Delicious  
 
Environ 43 résultats
Aller à la page 1 / 2 / 3 / 4 / 5
 
    pertinence 50
Carrières de Paris

Le faux cabinet minéralogique, construit pour quelques jours, histoire que les abrutis de service passent leurs nerfs. Ça a bien fonctionné d'ailleurs ^_^
 
    pertinence 50
Des premiers pas en carrière jusqu'à sa dernière descente, chaque cataphile observe une progression dans son comportement en sous-sol. L'itinéraire emprunté passe par plusieurs phases où son attitude vis à vis du lieu, des autres individus et surtout par rapport à soi même va évoluer.

Étape 1: Le mal de la carrière.

Tout commence par une proposition de descente. Par l'intermédiaire d'un ami ou des médias, le néophyte prend conscience de l'existence d'une ville sous la ville. Partagé entre le désir d'exotisme et la peur de l'inconnu, il se rend au rendez-vous. Devant un bar ou face à une bouche de métro, un groupe hétéroclite l'attends. Ils ont tous des tenues usées et sales, les uns portant des packs de bière à la main, les autres des sacs monstrueux sur leurs épaules. Durant la marche vers la carrière, le principal jeu est d'effrayer le nouveau, à la fois par sadisme mais aussi pour le tester et ainsi éviter qu'il ne flanche une fois à l'intérieur.

Car tous connaissent le mal étrange qui guette le néophyte: Le mal de la carrière. Comme celui qui craint le mal de mer dès qu'il pose le pied sur un bâteau, l'apprenti cataphile sera angoissé par l'entrée du souterrain. Ce n'est qu'une fois à vingt mètres sous terre qu'il pense aux tonnes de pierres qui le surplombent et le menacent. Ajoutez à cela l'étroitesse des galeries, le dépaysement et l'impossibilité de retrouver la sortie dans ce labyrinthe infernal et vous obtenez un malaise qui s'estompera avec les heures. À la sortie, grandement soulagé d'être entier, le débutant sera heureux d'avoir survécu à une telle aventure. La plupart ne reviendront jamais et leurs pas s'écarteront de la carrière. Quelques uns cependant voudront renouveler l'expérience et repartiront à l'assaut des abîmes souterrains.

Étape 2: Soif de découverte.

Enfin, le plan tant attendu est placé solennellement entre les mains tremblantes d'émotion du débutant cataphile. Les premières explorations où ce dernier prend la responsabilité de guider sont difficiles: Les égarements et les demi-tours sont fréquents. Rares sont ceux qui furent autodidactes en ce domaine, apprendre à se diriger en carrière n'est pas évident. Mais l'excitation de la découverte d'un nouveau monde est énorme: Il y a tant de choses à voir que les descentes dépassent bien souvent la durée voulue. À ce stade, le cataphile s'intègre souvent à un groupe d'amis qui le verra évoluer. C'est le commencement pour certains du désir d'être reconnu par ses pairs.
 
    pertinence 50
L'intérieur du bunker de Rimplas est particulièrement bien conservé. Même les peintures des rambardes métalliques sont intactes...
 
    pertinence 50
Remerciements spécial à Dominique pour son dessin et aux touristes amoureux des ktas. Dédicaces à ma bien aimée Zacha inné ainsi qu'à: Zombie, Le chat, Thaar, l'A, Fantom, Angel, Silence, Joe la taupe, Troll, Kro, Yaqua, Passe-muraille, Marsu, NJC, Dark, IceMan et les autres. Pour bâtir il fallait des mains, des bras, des muscles masculins. Mais pour l'amour et la lumière, c'est affaires de mères... Ainsi fûrent-elles consolidées, nos belles galeries tant aimées. Sachez dès-lors les respecter pour préserver notre liberté.
 
    pertinence 50
Le métier de carrier, souvent mal rétribué, était pénible et dangereux. On aura recours à la main d'œuvre de nos campagnes, principalement du Limousin. Il fallait travailler couché pour souchever, à genoux pour trancher avec un outillage très lourd, chaque jour 12 heures durant. À la force physique, il fallait ajouter le sang froid, l'adresse et le courage car les accidents étaient fréquents et souvent mortels, causés par la chute de blocs de pierre, l'effondrement ou la rupture des échelons. Lorsque les hommes grimpaient sur la roue pour monter la pierre, il suffisait d'un faux mouvement, qu'un seul d'entre eux ne glisse d'un échelon, ou bien que le câble casse; mais quelle qu'en fût la cause, dès que l'équilibre était rompu, la roue tournait sans mesure entrainant les hommes qui y restaient accrochés, la vitesse les projetait ainsi qu'une fronde géante.

Les registres communaux de Montrouge le prouvent, des centaines de carriers furent victimes de leur métier.

L'Hospice de la paroisse St Jacques du Haut Pas a été fondé en 1779 par le curé de St Jacques du Haut Pas, M. L'abbé Denix Cochin. Celui-ci l'avait d'abord destiné à recevoir les pauvres ouvriers blessés; le quartier étaitoccupé, en grande partie, par des ouvriers travaillant auc carrières voisines. Comme il fallait les transporter à l'Hôtel Dieu lorsqu'ils étaient blessés, ils manquaient de soins immédiats, généralement nécessaires.

Animé d'une grande charité, l'abbé Denis Cochin consacra à cette œuvre toute sa fortune (1500 livres de rentes). La première pierre fût posée le 25 septembre 1780 par deux pauvres de la paroisse, élus comme les plus dignes dans une assemblée de charité.

Descendre et savoir!!! F.L. Tract N°6 Juin 2001 / Respectez le site.
 
    pertinence 50
Ah, pour y aller en haut de cette tour, ce fût bien sport!
 
    pertinence 50
Ah ben c'est sûr qu'avec les fils coupés, ça va moins bien marcher le système d'alarme!
 
    pertinence 50
Photo prise par -8°C sur la crête du toit. On voit bien sur la photo le givre sur le métal. Alors oui, ça glissait énormément et oui, j'ai eu très peur!
 
    pertinence 50
Ici, les vitraux en cours de restauration (ils en ont bien besoin) sont remplacés par des panneaux de bois.
 
    pertinence 50
Vous voyez l'Indiana Jones dans le fond? Non, ce n'est pas lui, mais pourtant, il y avait un petit air de ça quand on s'est amusé avec les chariots dans ce couloir et le trop court virage du fond. De bonnes soirées à remonter la pente et à pousser comme des bœufs. Pour s'amuser bien sûr!
 
Environ 43 résultats
Aller à la page 1 / 2 / 3 / 4 / 5
 
AQUATIQUE ARC ARCHE AXA BASSIN BATTERIE BILLANCOURT BLOC BOUGIVAL BOULOGNE BOUTANT BOUTANTS BRETAGNE BUNKER CALCAIRE CARRIÈRES CATACOMBES CATHEDRALE CB31 CENTRE CHAMPIGNONNIERE CHANTIER CHARTRES CHATEAU CIMENTERIE CLINIQUE CONFLANS COULOIR COUTANCES CRAIE DAME DEFENSE DENFERT DIVERS EAU ECHELLE ECOLE EGLISE EPURE ESCALIER ESSERENT FAC FACADE FORT FRANCE FRICHE GALERIE GARE GRAND GRILLE GROSSIER GRS GRUE GYPSE HERBLAY HONORINE ILE INDUSTRIELLE JAGUAR LEU LYON MAGASIN MAGINOT MAHON MAISON MARLY MEDICALE MEDIEVALE MERY MEUDON MILITAIRE MINE MINISTERE MONTALETS MONTESSON MONTROUGE MONUMENT MUSEE NOTRE OCRE OFFICIEL OISE OPERA ORANGIS ORSAY OSSUAIRE PALAIS PALAISEAU PANORAMIQUE PAPETERIE PARIS PAUL PILIER PISCINE PLAN POINTE PONT PONTOISE PORT PORTE PRISON PROVENCE PUITS RAIL RENAULT RIS ROCHEREAU ROUDOUDOU SAINT SALLE SEGUIN SEINE SOUTERRAIN STATUE SUD TECHNIQUE THEATRE TOIT TOUR TRACT TRIEL TROCADERO TUNNEL ULIS UNIVERSITE USINE VAUX VERRIERE WAGON