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Ici, nous sommes au plus haut (sans escalader) de la tour lanterne. La vue sur le reste de la cathédrale vaut le coup d'œil. Les tours de la façade sont creuses.
 
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Lors de la première série de travaux, le gardiennage s'était considérablement augmenté, suite aux nombreuses visites de personnes pas discrètes. Ils avaient finalement opté pour enlever les bâches. Ainsi, les gardiens pouvaient plus facilement voir les gens monter. Cette photo a été prise la veille du défilé du 14 juillet 2006. L'absence de bâche n'a en rien gêné la montée jusqu'au sommet. Comme quoi...
 
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Une des cuves du dernier étage, avec les canalisations. On suppose aux vues des conduites que c'était la réserve d'eau potable du centre souterrain.
 
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Réservoirs des eaux de la Vanne. La consolidation des carrières existant sous l'emplacement de ces Réservoirs a été commencée le 7 septembre 1868, sous la direction de Mr E. de FOURCY. Ingénieur en chef des mines, inspecteur général des carrières par Mr A. DESCOS ingénieur des mines: Interrompue le 6 mars 1869, elle a été reprise le 27 mai 1872 et achevée le 31 janvier 1874 sous la direction successive de M M. JACQUOT et DESCOTTES ingénieurs en chef des mines, inspecteurs généraux des carrières par Mr O. KELLER ingénieur des mines. M M. TRIÉ et LAZIES entrepreneurs.
 
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Carrière de Meudon, dite carrière d'Arnaudet ou du docteur Arnaudet
 
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Les métiers de l'Astronomie

Le développement des recherches en astronomie est largement fonction des moyens d'observation - qu'il s'agiise de grands téléscopes ou radiotélescopes installés au sol, ou d'instruments envoyés dans l'espace: ballons ou satellites - et des moyens informatiques qui offrent des possibilités incomparables de calcul et de modélisation des phénomènes naturels et qui permettent de faire une analyse très poussée des données acquises grâce aux observations. La recherche en Astronomie fait appel à de nombreuses disciplines (mathématiques, physique, chimie); c'est un travail d'équipe qui demande une collaboration étroite entre chercheurs (astronomes), ingénieurs et techniciens, au niveau national et international.

Différents domaines d'activité peuvent être définis, d'une part selon les objets étudiés, d'autre part suivant les techniques employées. Certains astronomes sont plus spécialisés dans les observations, d'autres dans la théorie ou la modélisation, d'autres enfin dans l'instrumentation; ces trois domaines complémentaires offrent une large palette d'activités aux astronomes.

Pour effectuer leurs observations, ceux-ci utilisent des instruments dont les performances ne cessent de s'accroître. Il s'agit de recueillir et d'analyser le rayonnement envoyé par les astres de façon à en obtenir le maximum d'informations. Les instruments sont conçus et réalisés par des astronomes, des ingénieurs et des techniciens. Les observations préparées longtemps à l'avance ont généralement pour but de vérifier les prévisions du théoricien. L'utilisation des grands instruments est accordée en fonction de l'intérêt scientifique des projets présentés. Les observations elles-mêmes sont généralement de courte durée, mais beaucoup de temps et de travail sont consacrés à leur exploitation et à leur interprétation. Le but à atteindre est l'obtention d'une information aussi détaillée que possible sur les astres étudiés, de déterminer quelles conditions les régissent et quels processus physiques interviennent.

Les résultats scientifiques obtenus sont finalement publiés dans des revues spécialisées, des comptes rendus de colloques ou des monographies, ce qui permet à la communauté internationale d'en prendre connaissance. Ainsi avance la science, s'appuyant sur des techniques de pointe ou, inversement, faisant évoluer les idées, les techniques, pour le bénéfice de tous.

Descendre pour mieux connaître Dessus!!! F.L. Tract N°1 Avril 2001 / Respectez le Site
Siège social: 61, avenue de l'Observatoire - 75014 Paris www.obspm.fr
 
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Des premiers pas en carrière jusqu'à sa dernière descente, chaque cataphile observe une progression dans son comportement en sous-sol. L'itinéraire emprunté passe par plusieurs phases où son attitude vis à vis du lieu, des autres individus et surtout par rapport à soi même va évoluer.

Étape 1: Le mal de la carrière.

Tout commence par une proposition de descente. Par l'intermédiaire d'un ami ou des médias, le néophyte prend conscience de l'existence d'une ville sous la ville. Partagé entre le désir d'exotisme et la peur de l'inconnu, il se rend au rendez-vous. Devant un bar ou face à une bouche de métro, un groupe hétéroclite l'attends. Ils ont tous des tenues usées et sales, les uns portant des packs de bière à la main, les autres des sacs monstrueux sur leurs épaules. Durant la marche vers la carrière, le principal jeu est d'effrayer le nouveau, à la fois par sadisme mais aussi pour le tester et ainsi éviter qu'il ne flanche une fois à l'intérieur.

Car tous connaissent le mal étrange qui guette le néophyte: Le mal de la carrière. Comme celui qui craint le mal de mer dès qu'il pose le pied sur un bâteau, l'apprenti cataphile sera angoissé par l'entrée du souterrain. Ce n'est qu'une fois à vingt mètres sous terre qu'il pense aux tonnes de pierres qui le surplombent et le menacent. Ajoutez à cela l'étroitesse des galeries, le dépaysement et l'impossibilité de retrouver la sortie dans ce labyrinthe infernal et vous obtenez un malaise qui s'estompera avec les heures. À la sortie, grandement soulagé d'être entier, le débutant sera heureux d'avoir survécu à une telle aventure. La plupart ne reviendront jamais et leurs pas s'écarteront de la carrière. Quelques uns cependant voudront renouveler l'expérience et repartiront à l'assaut des abîmes souterrains.

Étape 2: Soif de découverte.

Enfin, le plan tant attendu est placé solennellement entre les mains tremblantes d'émotion du débutant cataphile. Les premières explorations où ce dernier prend la responsabilité de guider sont difficiles: Les égarements et les demi-tours sont fréquents. Rares sont ceux qui furent autodidactes en ce domaine, apprendre à se diriger en carrière n'est pas évident. Mais l'excitation de la découverte d'un nouveau monde est énorme: Il y a tant de choses à voir que les descentes dépassent bien souvent la durée voulue. À ce stade, le cataphile s'intègre souvent à un groupe d'amis qui le verra évoluer. C'est le commencement pour certains du désir d'être reconnu par ses pairs.
 
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Photo prise du haut de la statue de la Vierge en acier moulé (provenant des canons pris aux Russes à Sébastopol) avec vue sur la cathédrale Notre-Dame de l'annonciation du Puy en Velay.
 
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En haut du tout petit bunker qui protégeait l'accès à la carrière. Le chemin de terre remonte au camping, celui de gauche vers la grand route.
 
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Coupole Arago

La construction de la coupole, sur l'instigation d'Arago, a débuté en 1846 d'après un projet établi par A. de Gisors, architecte en charge de l'Observatoire, accepté par le Ministre, Secrétaire d'État des travaux publics, le 10 mars 1846. Entièrement en cuivre, elle a été déformée par une restauration malheureuse.

Cette coupole a abrité une lunette équatoriale à monture allemande, construite par Brünner, dont l'objectif de 38cm de diamètre et de 9m de focale a été fabriqué par les frères Henry.

La lunette pivote autour de deux axes: Un axe horaire parallèle à l'axe du monde, Un axe des déclinaisons perpendiculaire au premier.

Elle repose sur une armature de poutres métalliques ancrée sur la paroi octogonale de la tour. Cette structure, datant des années 1850, est classée car c'est l'une des dernières structures rivetées fabriquées en France.
Lors de sa mise en service en 1854, soit un an après la mort d'Arago qui avait commandé l'instrument, elle était par ses dimensions la plus grande lunette de l'époque.

Cette lunette a servi pendant plus d'un siècle, notamment aux observations de comètes, de petites planètes et d'étoiles doubles, ainsi qu'aux occultations d'étoiles par la Lune. Elle reste utilisée de nos jours pour l'observation des éclipses et des occultations mutuelles des satellites de Jupiter, et l'observation de phénomènes rares (comètes, occultations d'étoiles par les planètes...).
Mais elle sert essentiellement aujourd'hui à la formation des étudiants de DEA de l'Observatoire de Paris.

 
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