Les carrières de gypse sont souvent plus fragiles que celles de craie ou de calcaire et nécessitent (même si il n'y a que de la forêt au dessus) de fréquentes consolidations.

Si on s'embête à Amiens sur la cathédrale, il y a aussi beaucoup de grues en ville. Un régal!

Ah ça, il y en avait des étoiles!

Pour observer la vue d'ici, il faut emprunter un petit escalier en pierre qui longe le mur de droit. Des morceaux manquant par endroit, il est tellement flippant qu'en redescendant, la crispation donne des courbatures. Aïe, j'ai beau être matinal, j'ai mal.

Les réservoirs de la plaine Saint-Denis (ici le plus petit des réservoirs), situés sous le Stade de France forment un des plus gros ouvrages en la matière. Il peut retenir jusqu'à 165.000m³ d'eau. La forme irrégulière des piliers est dûe à la technique de construction par moulage (creusement du sol, injection de béton puis dégagement de la terre autour du pilier).

Pour passer du centre de contrôle au bassin, il faut traverser le parking du stade, désert pour l'occasion. Immense!

Aller au bout de cette flêche par la courtine procure une illusion d'optique fabuleuse. Il faut regarder devant soit. On a alors l'impression que le sol ne bouge pas et on se croit dans l'espace. À faire!

Dans la masse d'Or, une échelle qu'il ne faut pas essayer de monter. C'est par ici qu'arrivait l'électricité nécessaire au secteur.

La plus vieille des tours est aussi la plus facile d'accès. Cette tour est quasiment entièrement creuse, même si on suppose que ce ne fût pas toujours le cas. Le point le plus haut qu'on puisse aller est la petite lucarne noire. À cet endroit, une association a installé une niche à faucon. Souvent, vers 5H du matin, il rode dans les airs, tournant alternativement autour des deux tours. Parfois, on l'entend crier et rompre ce silence nocturne. Effet garanti!

La plus grande salle des cuves du centre. Pour y aller, c'est sport, il faut passer sur un énorme conduit d'aération souple et bruyant.